L’éducation réformée, les violences s’amenuisent et la sécurité s’optimise.
Dimby Vaovolo
Violences et insécurité nuisent au développement. L’éducation malagasy se montre bien placée pour
résoudre ou pallier les problèmes y afférents à Madagascar. En effet, « le préventif est moins destructeur
que le curatif. »
L’analyse structurale et fonctionnelle des faits semble justifier la véridicité du principe de SAUSSURE
selon lequel « dans un système tout se tient. ». En effet, la qualité de l’éducation est vue comme le noyau
central des remèdes contre ces maux.
La situation déboussolée de l’éducation malagasy mérite d’être réorientée. Elle est prise dans son
acception générique et élargie sous tous ses aspects formel, non-formel et informel. Et sa réorientalisation
doit constituer la clé d’atténuation de toutes les difficultés engendrées. Qu’elles soient de nature juridico-
politique, socio-économique ou culturo-éducative, le registre de ces délinquances inclut les dépravations
dans toutes leurs dimensions. Par conséquent, la réforme éducative intéresse tous les domaines d’activités
intra- et extra-éducatives, toutes les fonctions régaliennes ou non, ainsi que tous les niveaux d’études et de
formation. En fait, l’Etat n’y est pas moins répréhensible en tant que pivot de toutes les sources endogènes
et exogènes y relatives.
Enfin, il convient de se questionner de savoir à qui profitent tous ces dérèglements ?
Mots-clés:
Insécurité, sûreté, violence, éducation, biens, personnes, développement
05/09/2024